La théorie des Nouvelles Lunes
E.L est un ethnologue français et un chercheur indépendant qui utilise les technologies de la communication et de l'information modernes afin de diffuser et vulgariser son travail.
En 2005, il est l'auteur d'une étude universitaire sur l'ethnologie culturelle des pratiques artistiques amateurs contemporaines, leurs manifestations urbaines et les politiques les accompagnant.
Il s'intéresse aussi à l'ethnologie culturelle en zone de montagne (France, Canada, Bulgarie), à l'histoire de la pensée, il travaille également dans le domaine des religions comparées, de la philosophie antique ou de la psychologie analytique.
Il diffuse en 2011 des carnets de recherche sur son terroir où il étudie des monuments mégalithiques de l'âge des métaux à travers la notion de géographie sacrée dans les Pyrénées et notamment en Vallée d'Ossau.
Il est l'auteur d'une analyse sur la baguette préhistorique d'Arudy (Sud-Ouest de la France), une baguette datant du magdalénien (17 000 à 9 000 avant notre ère ) retrouvée dans une grotte préhistorique par l'archéologue Édouard Piette. Il en propose un décryptage en ligne en février 2012, ainsi qu'une vidéo sur son site Internet. Sa théorie est que la baguette est le premier calendrier luni-solaire perpétuel et qu'il possède deux sens de lecture représentant un cycle solaire et lunaire infini, les symboles de la baguette ayant une valeur numérique et temporelle. Pour lui, la baguette fait aussi office d'éphéméride et met en avant une forme d'arithmétique.
En mars 2012, il déchiffre un calendrier lunaire sur une peinture pariétale de la grotte de Lascaux. Suivent ensuite de nouveaux calendriers et en avril 2012 après avoir publié ses recherches en ligne, il affirme qu'il faut concevoir Lascaux comme un gigantesque calendrier lunaire. Il est actuellement le seul à défendre cette théorie de "calendrier magdalénien", véritable révolution scientifique.
Il développe ainsi sa théorie des Nouvelles Lunes (lunaisons, mois lunaires, révolutions synodiques) et affirme qu'elle permet d'expliquer de nombreuses peintures et gravures pariétales (Vénus à la Corne, L'abri du poisson, La grotte de la forêt, etc.) ainsi que des gravures mobilières et de donner un sens nouveau à l'appréhension de l'art de l'Âge du Renne ( 35 000 ans à 10 000 ans avant notre ère). Il prend ainsi ses distances avec les interprétations purement chamaniques et pré-logiques antérieures.